Use "donner le coup de grâce" in a sentence

1. «Axel, me dit-il d'un ton grave, ce poignard est une arme du seizième siècle, une véritable dague, de celles que les gentilshommes portaient à leur ceinture pour donner le coup de grâce; elle est d'origine espagnole; elle n'appartient ni à toi, ni à moi, ni au chasseur!

2. Près de leurs cadavres se sont aussitôt approchés deux chirurgiens, puis deux caporaux chargés de donner le coup de grâce

3. Sans doute pensaient-ils qu’il ne leur restait plus qu’à achever, qu’à donner le coup de grâce à ce qui avait été Illa, la ville puissante, le joyau de l’univers

4. Elle semblait plus hargneuse et plus redoutable à mesure qu’elle approchait de la frontière, et l’on fonçait encore sur elle dans l’espoir fou de lui donner le coup de grâce

5. Je crois entendre encore les malédictions qui s’élevaient contre Bernadotte, les cris d’indignation de tous ceux qui l’avaient connu simple officier du temps de la République et qui disaient : « Il nous doit tout ; nous l’avons fait roi de notre propre sang, et maintenant il vient nous donner le coup de grâce ! »

6. – Ne craignez rien, continua Bigot qui prenait plaisir à le martyriser, tout comme le chat qui joue avec sa proie palpitante avant de lui donner le coup de grâce, nous sommes bien seuls

7. Mais des semaines, des mois et des années s’écoulaient sans donner le coup de grâce à cette charpente vermoulue, tandis que le soleil de chaque jour n’en donnait que plus de vigueur aux touffes de mousse et d’herbe qui trouvaient moyen de croître sur ce toit d’un autre âge

8. Pour donner le coup de grâce, il faut regarder la victime, et j’aurai, en expirant sous vos cruautés, cette douceur souveraine d’avoir été aperçu

9. Il vient de prouver que ce n’est pas pour rien qu’on l’a nommé le Renard, le lâche trompeur qu’il est ! Un honnête Delaware, se voyant vaincu de franc jeu, se serait laissé donner le coup de grâce sans résistance ; mais ces brigands de Maquas tiennent à la vie comme des chats sauvages

10. Reconnaître une défaite aussi cuisante, c’est donner le coup de grâce à l’effort et au progrès

11. – Ne pourrions-nous pas au moins donner le coup de grâce à la mère ?

12. Ce qui avait été juré, on le jurait presque toujours avant les expéditions de grand-route, dans ce temps de la désolation : c’était de considérer tout blessé comme mort et de lui donner le coup de grâce pour ne point se trahir en le laissant derrière