Use "jour" in a sentence
jour example sentences
jour
1. Oui ! Ce sont toujours des fleurs, des mots, qui un jour,
2. Je lui avais écrit un jour :
3. C'est que comme toi un jour,
4. Parler d’amour, on peut le faire chaque jour
5. Sortir enfin de l’oubli car, depuis ce jour,
6. Cela se reproduisit encore une autre fois puis, un autre jour
7. Toi, cette sacrée coquine, qui un jour du mois de mai,
8. Risquent, un jour prochain, de me faire périr,
9. Ce magnifique jour d'été
10. Pensé à toi ce premier jour du mois de mai
11. J'oubliais : Un jour tu m'as dit qu'il fallait que je fasse table rase de mon passé
12. Ne sachant pas qu'un jour
13. Est-ce que tu comprendras un jour que ces tergiversations vont ternir cet amour qui nous unit
14. Elle me le dévoilera sans doute un jour
15. Cet ardent brasier, qui brûle en moi et me dévore depuis le premier jour,
16. Pourtant, je savais déjà qu’un jour
17. Ceux qui un jour, nous maudiront
18. je souhaite inlassablement que tu puisses revenir à ce fameux jour où tu m'as dit qu'il n'y aurait plus de bye
19. tout cela me persuadait,que si tu le voulais,pourrait être mien un jour le reste de ma vie
20. Ce jour là je ne parvenais pas à distinguer le galbe de ta poitrine,
21. Un jour tu m'as dit que tu voyais au regard des autres ce qu'ils pensaient
22. Le premier jour de ta venue,comme je te l'ai écrit par la suite,
23. auprès de toi à,malheureusement,disparu ce jour de juin 2008,trois ans
24. Tous ceux qui m’entourent, avec le temps, m’ennuient ; c’est comme une sangsue gigantesque qui, jour après jour, suce tout ce que j’ai de bon en moi : ma jeunesse, mon insouciance, mon amour
25. Et ce fut comme cela, qu’un jour, un jour froid de novembre, je décidai de mettre en pratique ces enseignements que le livre m’avait donné
26. Tout ce que je suis en train de manger ce soir me semble meilleur ; les plats savoureux que ma mère me prépare affectueusement chaque jour, ce soir, ils ont une autre saveur et ne seront pas indigestes comme d’habitude, mais ils remplieront pacifiquement mon estomac sans devoir lutter avec la terrible bile, ce liquide qui, avec le temps, s’est adapté à n’importe quel médicament et sédatif et qui, grâce à une puissante armure et un fouet d’épines, punit sans dérangement les visiteurs occasionnels de mon intestin
27. Le matelas aussi, contrairement à la pente habituelle qu’il forme chaque jour, permettant même de me laisser glisser jusqu’au sol, ce matin il est bien stabilisé dans la surface du sommier qui, étrangement, n’a pas bouger d’un seul centimètre dans la pièce
28. Un hublot, d’un métal portant vieux et rouillé, permet à la lumière du jour de filtrer, éclairant ces grabats que seul le blason de la compagnie de navigation distingue des lits superposés militaires
29. Mais il n’y a pas danger ! Seuls deux ou trois cornichons, par jour, aident les nombreux habitants de ce quartier à le débarrasser d’un peu de gens
30. Comme elle était patiente, ma mère, pour recoudre chaque jour mes pantalons, cibles préférées des sarbacanes et des pointes à dessin
31. Aube annonciateur d’espoir du jour luisant, à tant de petits et humbles travailleurs ! un deux, un deux, quelques petits exercices pour activer la circulation et je suis prêt à continuer mon voyage
32. Mais qui sait, un jour peut-être dans un avenir lointain, si l’eau sort du sous-sol et de précieux minéraux jaillissent du sable, ils attireront la convoitise d’habiles aventuriers ! Reluisant exemple de cette fantasque idée est sans doute l’Amérique des années huit-cent
33. Qu’importe-il à ces hommes s’il pleut ou s’il fait beau temps ? Que leur importe si dans les villes arrivent tant d’injustices ? Quel intérêt pour eux, le manque d’une compagne, peut-être aussi laide qu’eux ? Quel problème de nutrition peuvent-ils avoir, étant donné qu’ils se nourrissent d’une baie par jour ? Le fascinant Tibet où les hommes et les femmes sont aisément reconnaissables par le manque ou non de chevelure ! Et une pensée en appelle une autre, dans mon esprit si peu occupé dans le non moins certain panorama du Sahara : l’ère des magnifiques Beatles ! Quelle vitalité et enthousiasme transmirent-ils aux jeunes avec leur musique, si douce et déchainée à la fois
34. A combien de choses pensais-je quand elle léchait la glace, compagne quotidienne de nos longues promenades ! Et comme elle hésitait, cette fille naïve, quand je lui offrais une banane : elle était si chaste et aimante de la nature, que dévorer ce fruit était un péché ; elle me regardait et en léchait le sommet, puis se l’enfilait en bouche sans la mordre, en fait, elle la titillait avec la pointe de la langue ; elle s’attristait lorsque je la poussais à la manger ! Je me souviens du dernier jour, lorsque, la bouche parfumée d’ail, je voulus éprouver son amour ; Quel libertin je fus de lui souffler mon haleine à la figure ! A propos, je dois encore lui rendre ses pantoufles
35. Un jour, j’emmenai un ami avec moi, un très cher ami qui, plus que les autres, avait partagé avec moi les tristes humeurs de la société
36. Et ce fut ainsi, qu’en suivant les conseils de la dame experte, les deux jeunes devinrent, de ce jour, des citoyens estimés et riches
37. Une fois par jour, et c’est étrange à dire, ils font aussi un petit besoin
38. Souvent vous les hommes, vous vous lamentez que vous n’avez qu’un seul jour de bonheur tous les cinq ans et vous êtes justement déprimés pour cela
39. Ici, chaque jour est heureux et dans notre espace temps, un jour correspond justement à cinq de vos longues, ennuyeuses et terribles années
40. Après un jour passé ici, il se sera passé un lustre dans ta ville
41. Pour cela, comment pouvons-nous avoir peur et même nous opposer si un jour notre mère décide de ne plus nous accueillir dans ses bras pour donner notre place à d’autres ? »
42. « On y mentionne » - me communique-t-elle – « une civilisation qui, par rapport au temps terrestre, devait avoir vu le jour il y a environ dix milles ans et que d’étranges et d’inexpliquées inondations étaient peu à peu en train de détruire
43. Je dus faire d’énormes efforts pour vaincre la pression hydrostatique, incroyablement forte dans ces profondeurs ; et ce fut après environ deux heures de nage frénétique, que je réussis à trouver une fente dans ce terrain ; la galerie courait horizontalement dans un premier strate, pour ensuite remonter et se jeter dans un milieu étrange ; j’avais trouvé une terre, qui par des phénomènes naturels inexplicables, était protégée du flux des eaux ; plus qu’une énorme caverne, cela me semblait être un véritable monde ; les arcades rocheuses qui la constituaient, et en même temps, le toit et l’abri des eaux des océans étaient hautes de plusieurs kilomètres ; surement accrochées à ces roches, cela devait être des pierres phosphorescentes, si lumineuses qu’elles réussissaient à éclairer comme en plein jour cette terre inconnue
44. Ce fut avec un vrai regret que, le sixième jour, j’entrepris le chemin du retour
45. La lumière du jour entre par les fentes du rideau de la fenêtre de ma chambre et moi, je me réveille
46. Mais quand même, sale misère, je dois aller travailler comme chaque jour
47. avant de me rendre, comme chaque jour, à cet odieux travail ! Et le soir
48. Toutes les particules élémentaires découvertes à ce jour sont soit des bosons, soit des fermions, ces derniers ne pouvant être que dans un état totalement antisymétrique par rapport à l'échange de particules
49. qu'il l'est au jour de sa naissance
50. Pour que demain soit un autre jour,
