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    taxe example sentences

    taxe


    1. L'administration de la Ville, de son côté, entend assister à des transactions qu'elle frappe d'une taxe


    2. Puis ensuite, par le littoral de l'Anatolie, au sud de la mer Noire, le plus têtu des Osmanlis rejoindrait le Bosphore à Scutari, sans avoir rien payé de la taxe nouvelle


    3. Avant que j’aie pu m’éloigner, elle avait lancé la marmaille dans la voiture, pris mon numéro, m’avait payé un shilling de plus que la taxe, prétendit-elle, et donné comme adresse un point légèrement au-delà de ce qu’elle appelait North Kensington


    4. Ainsi, par exemple, dans la Nouvelle-Angleterre, c'est l'assesseur de la commune qui répartit la taxe; le percepteur de la commune la lève; le caissier de la commune en fait parvenir le produit au trésor public, et les réclamations qui s'élèvent sont soumises aux tribunaux ordinaires


    5. Il suffit, pour pouvoir élire les représentants, de payer une taxe


    6. La migration ou l'importation de telles personnes dont l'admission peut paraître convenable aux États actuellement existants, ne sera point prohibée par le congrès avant l'année 1808; mais une taxe ou droit n'excédant point dix dollars par personne, peut être imposée sur cette importation


    7. Aucune capitation ou autre taxe directe ne sera établie, si ce n'est en proportion du dénombrement prescrit dans une section précédente


    8. Aucune taxe ou droit ne sera établi sur des articles exportés d'un État quelconque, aucune préférence ne sera donnée par des règlements commerciaux ou fiscaux aux ports d'un État sur ceux d'un autre; les vaisseaux destinés pour un État ou sortant de ses ports, ne pourront être forcés d'entrer dans ceux d'un autre ou d'y payer des droits


    9. Aura le droit de voter dans la ville ou dans le quartier où il fait sa résidence, et non ailleurs, pour la nomination de tous fonctionnaires qui maintenant ou à l'avenir seront élus par le peuple, tout citoyen âgé de vingt et un ans qui aura résidé dans cet État un an avant l'élection à laquelle il veut concourir, qui en outre aura résidé pendant les six derniers mois dans la ville ou dans le comté où il peut donner son vote, et qui dans l'année précédant les élections aura payé à l'État ou au comté une taxe foncière ou personnelle; ou qui, étant armé et équipé, aura durant l'année rempli un service militaire dans la milice


    10. L'homme de couleur qui aura été imposé pour cette propriété, et qui aura payé la taxe, sera admis à voter à toute élection

    11. Ce droit, ainsi que celui sur toutes les salines, établi par la loi du 15 avril 1817, et les droits sur les ventes à l'enchère (excepté une somme de 33,500 dollars dont il est disposé par cette même loi), et enfin le montant du revenu établi par décision de la législature du 13 mars 1820 (au lieu de la taxe sur les passagers des bâtiments à vapeur), sont et resteront inviolablement appliqués à l'achèvement des communications par eau, au paiement de l'intérêt et au remboursement du capital des sommes empruntées déjà, ou qu'on emprunterait par la suite, pour terminer ces travaux


    12. On a fait une taxe de cent mille écus sur les bourgeois; et si on ne trouve point cette somme dans vingt-quatre heures, elle sera doublée, et exigible par des soldats


    13. Sophar de Naamath le taxe de présomption


    14. Malheureusement le mot de taxe effraie les personnes même les mieux intentionnées


    15. Qu’on ne me taxe point d’être un novateur dangereux ; qu’on ne dise pas qu’il y a du risque à émousser, comme le feront peut-être ces écrits, le remords dans l’âme des malfaiteurs ; qu’il y a le plus grand mal à augmenter par la douceur de ma morale le penchant que ces mêmes malfaiteurs ont aux crimes : j’atteste ici formellement n’avoir aucune de ces vues perverses ; j’expose les idées qui depuis l’âge de raison se sont identifiées avec moi et au jet desquelles l’infâme despotisme des tyrans s’était opposé tant de siècles


    16. « Le notaire demeure rue du Sentier, n° 41 ; il passe pour austère et pieux, du moins il fréquente beaucoup les églises ; il a dans la pratique des affaires une régularité excessive que l’on taxe de dureté ; son étude est excellente ; il vit avec une parcimonie qui approche de l’avarice ; Mme Séraphin est toujours sa gouvernante


    17. «Le notaire demeure rue du Sentier, n° 41; il passe pour austère et pieux, du moins il fréquente beaucoup les églises; il a dans la pratique des affaires une régularité excessive que l'on taxe de dureté; son étude est excellente; il vit avec une parcimonie qui approche de l'avarice; Mme Séraphin est toujours sa gouvernante


    18. Une affreuse vieille le regarde de travers, parce qu’il l’a frôlée au passage ; deux bons bourgeois, causant de la taxe d’eau ou de la hausse des loyers, marchent à côté de lui ; un brave policeman, au coin de la rue, disperse les flâneurs en répétant d’une voix monotone : Move on, please ! Move on ! L’insipidité de la vie commune et journalière le reprend de nouveau


    19. "Pascalien ? Tiens, c'est bien la première fois qu'on me taxe de pascalien, ou pascalienne


    20. Il vous taxe, il vous apprécie, il fixe votre dépense et s'il vous jugeait digne d'une meilleure fortune, et de celle même où il aspire, il ne manquerait pas de vous la souhaiter

    21. Doit-on suspecter son désintéressement et supposer qu’une taxe prélevée sur cette industrie honteuse alimente ses fonds secrets ? Dans ce cas, nous réclamons – nous inspirant de la sagesse de Vespasien – qu’au moins ces vilenies profitent à nos concitoyens, et que les sommes ainsi recueillies servent à dégrever nos contributions


    22. Elle avait fait emplette de choses inutiles pour trente-cinq mille trois cents francs, plus la taxe


    23. Il semble que la meilleure manière de résoudre ce problème serait de garder le tarif de faveur vis-à-vis de l’Angleterre, et d’élever les droits sur tous les produits manufacturés venant des États-Unis ou d’ailleurs, pendant que le gouvernement anglais favoriserait nos produits naturels en imposant une taxe sur les mêmes produits importés des autres pays


    24. « Et, comme vous êtes riche, je vous taxe à un million pour prix de leur rançon


    25. Avec le produit d'une taxe on peut réellement payer


    26. Ayant pourtant déjà versé à la caisse du régiment la taxe obligatoire, j’ai cru que je pouvais encore consentir de petites attentions


    27. « Pourquoi donc le monachisme a-t-il prévalu ? parce que le gouvernement fut presque partout détestable et absurde depuis Constantin ; parce que l’empire romain eut plus de moines que de soldats ; parce qu’il y en avait cent mille dans la seule Égypte ; parce qu’ils étaient exempts de travail et de taxe ; parce que les chefs des nations barbares qui détruisirent l’empire, s’étant faits chrétiens pour gouverner des chrétiens, exercèrent la plus horrible tyrannie ; parce qu’on se jetait en foule dans les cloîtres pour échapper aux fureurs de ces tyrans, et qu’on se plongeait dans un esclavage pour en éviter un autre, parce que les papes, en instituant tant d’ordres différents de fainéants sacrés, se firent autant de sujets dans les autres États ; parce qu’un paysan aime mieux être appelé mon révérend père, et donner des bénédictions, que de conduire la charrue ; parce qu’il ne sait pas que la charrue est plus noble que le froc ; parce qu’il aime mieux vivre aux dépens des sots que par un travail honnête ; enfin parce qu’il ne sait pas qu’en se faisant moine il se prépare des jours malheureux, tissus d’ennui et de repentir


    28. Moi, cependant, j’avais eu le temps de réfléchir qu’en achetant ce chien je me ferais sans doute un ami fidèle et discret, qui, pour m’aider et m’apprécier, ne me demanderait jamais qui j’étais véritablement, d’où je venais, et si mes papiers étaient en règle ; mais qu’il me faudrait aussi me mettre à payer une taxe, moi qui n’en payais plus ! Cela me parut comme une première compromission de ma liberté


    29. [Note 74: En Chine et au Japon, le gouvernement fait entrer d'office dans les maisons de prostitution les femmes qui ne peuvent pas acquitter la taxe personnelle


    30. Les mauvaises nouvelles de l’armée du Nord, la déroute du corps de Valence à Aix-la-Chapelle ; l’insurrection de la Vendée, où tout se levait ensemble, prêtres, nobles et paysans ; la défaite de Dumouriez à Nerwinden ; les intrigues du ministre Pitt, qui mettait toute l’Europe contre nous ; le massacre des Français à Rome ; les grands cris de Danton appelant les citoyens au secours de la république, demandant la création d’un tribunal révolutionnaire pour juger les traîtres, et l’établissement d’une taxe sur les riches ; les discours des girondins, toujours les premiers à déclarer la guerre, à nous envoyer, nous les enfants du peuple, au-devant de la mort par centaines de mille, et qui devenaient furieux lorsqu’il s’agissait d’un roi traître à la patrie, de la vie des conspirateurs et de l’argent des riches, toutes ces choses vous agaçaient et vous entretenaient dans une colère d’autant plus grande, que les Allemands étaient cinq contre un, et qu’on ne pouvait pas se venger

    31. Elles abolirent la loi des otages, elles établirent une taxe de guerre de vingt-cinq centimes par franc, à la place de l’emprunt forcé ; elle proclamèrent l’étalon définitif des poids et mesures, ce qui fut un bien pour le commerce ; elles mirent en ordre les lois déjà rendues pour notre code civil, et finalement elles nommèrent chacune leur commission chargée d’arrêter un projet de constitution


    32. C’est encore dans cet esprit qu’on a fixé à trente centimes par cent francs pour les congrégations reconnues et à quarante centimes pour les congrégations non reconnues la taxe annuelle sur la valeur des biens meubles et immeubles, en sorte que ces dernières, incapables de posséder, sont bonnes pour payer, et même pour payer plus que les autres


    33. Et nous ne craignons pas, hélas ! qu’on nous taxe d’exagération


    34. Vous, les soi-disant libre-échangistes du Canada, admettez, en premier lieu, que les articles manufacturés de tous les pays doivent être libres, et voulez laisser vos fabricants, artisans et ouvriers, en un mot toutes les mains employées à votre production intérieure, se protéger contre la concurrence du monde entier ; tandis que si vous ne préleviez pas le revenu par taxe directe, il vous faudrait le prélever par une imposition de droits sur les choses nécessaires à la vie et les matières brutes que nous ne produisons pas et ne pouvons produire


    35. Pour ne rien dire de l’inutilité de ces gens-là qui ne font rien, nous avons sur le cou une taxe énorme, disons, à la plus basse évaluation, vingt millions de dollars par an, sans faire attention à la grosse somme qu’ils gagneraient au pays s’ils travaillaient


    36. Qu’en résulte-t-il ? C’est qu’au lieu d’avoir à payer, comme maintenant, pour chaque verge d’étoffe qu’ils portent : – d’abord, l’agent commissionnaire, qui réduit la pièce de quelques pouces, puis le transport qui la réduit d’un quart, puis l’importateur qui rogne encore un bon bout, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’elle arrive aux pauvres gens qui n’obtiennent qu’une demi-verge pour l’argent d’une verge ; au lieu de cette taxe en gros, notre politique est de donner un article qui vienne directement de chez le fabricant, et de fournir une verge d’étoffe pour l’argent d’une verge, sans déduction aucune


    37. Prenons d’autre part les caoutchoucs que vous portez à ce moment même à vos pieds, si vous voulez : quel est le résultat de la taxe à laquelle ils sont soumis ? Si vous voulez vous donner la peine de remonter au temps où le commerce en était libre, vous verrez que le prix était de 6s


    38. par paire, tandis que maintenant l’imposition de la taxe a élevé nos fabricants de Montréal et nous permet de confectionner les caoutchoucs nous-mêmes et de coter le même article 4s


    39. Ils sont maintenant à dix ou quinze pour cent meilleur marché au moyen de la taxe, parce que nous les fabriquons chez nous et ne sommes plus forcés d’aller les chercher à Boston


    40. De plus, en adoptant les principes du libre-échange comme en Angleterre, nous donnerions à ces pauvres gens les choses nécessaires à leur vie, le thé, le sucre, le café et la mélasse exempts de droits, tandis qu’avec votre politique actuelle vous imposeriez sur ces articles une taxe de 15 ou 20 pour cent

    41. – Quoi ! s’écria Squobb reculant d’une patriotique horreur et plongeant la main dans les poches de son habit pour en exhumer le grand réceptacle de ses grandes idées, – mettre une taxe sur la pensée ! Quoi ! voulez-vous révolutionner le pays ?


    42. Ainsi que vient de vous le dire l’honorable Harry Madge, la guerre ne saurait tarder à éclater, et voici pourquoi : d’accord avec nous, la Chambre des Représentants va voter une loi frappant d’une taxe très élevée tous les produits européens à leur arrivée sur le sol des États-Unis


    43. La taxe qui frappe nos tableaux et nos objets d’art à leur entrée aux États-Unis est trop élevée


    44. Malgré cette clause bizarre de la tolérance dont ils sont l’objet, malgré la taxe d’entrée de cinquante piastres qui leur est imposée, ils constituent, paraît-il, un véritable danger pour l’élément anglais, tant leur multiplication est rapide et hors de toute proportion


    45. Vous n’oublierez pas les publications pour la taxe des grains et le prix du pain


    46. L’un soutenait que la meilleure méthode serait d’imposer une taxe sur les vices et sur les folies des hommes, et que chacun serait taxé suivant le jugement et l’estimation de ses voisins


    47. Il fallait taxer fortement l’esprit et la valeur, selon l’aveu que chacun ferait de ces qualités ; mais à l’égard de l’honneur et de la probité, de la sagesse, de la modestie, on exemptait ces vertus de toute taxe, vu qu’étant trop rares, elles ne rendraient presque rien ; qu’on ne rencontrerait personne qui ne voulût avouer qu’elles se trouvassent dans son voisin, et que presque personne aussi n’aurait l’effronterie de se les attribuer à lui-même


    48. « Aucune partie du revenu provenant de la vente des timbres de taxe de guerre émis sous l’empire de la Loi spéciale des Revenus de guerre, 1915, chapitre huit du Statut de 1915, à tout bureau de poste urbain du Canada, ne doit être comprise dans le montant des perceptions de frais de port de ce bureau aux fins de déterminer ou calculer le traitement du directeur et du directeur adjoint de la poste à ce bureau de poste, et le Ministre des Postes a le pouvoir de déterminer quel pourcentage des frais de port perçus à l’un quelconque de ces bureaux doit être attribué à la vente de ces timbres de taxe de guerre, et la solde des perceptions totales de frais de port de ce bureau de poste est le montant sur lequel le traitement du directeur et du directeur adjoint de la poste à ce bureau de poste doit être calculé


    49. Je m’en tiens à la réclame ; si l’on me taxe d’exagération, nous examinerons le chapitre voisin


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    taxe in English

    VAT value-added tax